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i don't know fashion → ft. libre

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Sabito

Sabito


Pronom irl : she/her
Messages : 22
Univers : kimetsu no yaiba (au)
Avatar : sorio
Statut civil : célibataire.
Métier : pilier de l'eau, pourfendeur de démons.
Monde de résidence : Harlan - Tokyo.
J'ai traversé le Léthé depuis : une à deux semaines, max'.
Niveau & vitesse de rp : entre 500 et 1000 mots ; 1x par mois.

   
Ce n'était pas du tout chez lui. Si le train pouvait effrayer la plupart des campagnards du Japon de son époque, ce serait bien pire en voyant un tel... Tel... Une telle... Technologie ? Oui, c'était le mot. De la technologie. De la technologie, du développement... Sabito venait d'un temps si lointain, lorsqu'on voyait la différence entre les deux instants, les deux moments. C'était aussi déconcertant d'être seul, envoyé dans un endroit qu'il ne connaissait pas, que de voir des... Voitures, motos... Ou même des téléphones. Lui, il avait toujours son corbeau, il était son messager et c'était si abstrait de se dire qu'il était remplacé par un petit boîtier avec des lumières et qui communiquait avec d'autres boîtiers par... Par onde ? Des ondes, oui, c'était comme ça qu'on lui avait expliqué quand il avait tapoté les... Surfaces lumineuses de la manche de son katana.

Il effrayait les gens, le masque sur le visage, et c'était encore pire quand il le retirait : on le regardait, on le scrutait, observant cette cicatrice immense et dévorant la moitié de son visage. Mais le pire, c'était sa tenue. Les gens le regardaient comme s'ils sortaient d'une histoire si folle, que l'on racontait aux enfants. Pourtant, il était tout ce qui était des plus normaux : il avait simplement son uniforme de pourfendeur et son haori par-dessus... Malheureusement, il attirait trop l'attention et ce n'était pas son but. Son but était de se fondre dans la foule et de comprendre ce qui se passait : il squattait un vieil immeuble où d'autres sans-abris vivaient par moment, il trouvait de l'argent comme il le pouvait... Maintenant, il fallait résoudre ce problème vestimentaire.

Son katana était caché sous des planches de bois, enroulé dans son haori, avec son masque de renard servant d'attaches grâce aux cordes rouges. Sabito avait assez d'argent pour acheter, au moins, une tenue. Il s'était alors dirigé vers de nombreuses boutiques mais rien ne lui allait vraiment et personne ne semblait vouloir l'aider... Une boutique, puis deux, puis trois. À la quatrième, il jouait avec le cintre d'un des pantalons... Sans savoir, sans comprendre. Pour lui, sa tenue de pourfendeur était la meilleure solution : ni trop large, ni trop étroit, le tissu ne collait pas à sa peau, il était résistant et il le laissait respirer. C'était la tenue de combat par excellence ! Mais ces habits-là... Ils semblaient si fragiles, si "lourds", si étouffants... Le jeune homme soufflait doucement, finissant par aller voir une personne, n'importe qui, pour demander de l'aide, pour recevoir des avis et autres conseils pour se fondre dans la masse, pour ne plus être observé comme une bête de foire.

"Bonjour, je m'appelle Sabito et je suis "nouveau" par ici. - ici, en cette "année", en ce "lieu" trop étrange et en tout ! - Je me demandais s'il vous était possible de m'aider à choisir parmi tous... Ces vêtements. Si cela ne vous dérange pas, bien entendu ! Sinon, je vous laisserai tranquille et je trouverai de l'aide ailleurs."
Maxine Mayfield
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Maxine Mayfield


Pronom irl : elle
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Univers : Stranger Things (fin saison 4)
Avatar : Sadie Sink
Statut civil : BAELFIRE ?!
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Niveau & vitesse de rp : entre 200 et 1 000 mots (rarement plus), team escargot

   
Comment a-t-elle atterri à Tokyo ? Max n'en n'a aucune idée. Il y a beaucoup de choses qui lui échappent ces derniers temps, de toute façon. Entre les cauchemars, les insomnies et toutes les choses bizarres qui se passent dans ces différents mondes, elle ne pourrait même pas être sûre que 2+2 fasse bien 4. Elle a peut-être juste erré jusqu'à arriver ici, ou quelqu'un lui en a parlé et elle s'est dit que c'est une bonne idée. Ou alors, elle a craqué suite à une dispute avec Baelfire, qu'elle garde dans l'ignorance de ce qu'elle a vécu. Il n'est au courant que de la mort de Billy. Pas de Vecna, ni de la possession, ni de sa... Mort. C'est ça. Mort. Il n'y a pas d'autre mot pour l'arrêt de ses fonctions vitales, du cerveau qui cesse de fonctionner et du cœur qui s'arrête. La sensation lui parcourt encore les os, elle se souvient de la douleur et du froid. Elle a eu bon lutter contre...

Elle s'arrête soudainement, figée dans ses souvenirs, dans la sensation. Elle frotte ses bras du mieux qu'elle peut pour se réchauffer, ressent une douleur dans tout son corps. Elle ferme les yeux un instant, chasse les larmes. Tout va bien se passer. Tu es ici, tu es en vie. Même si elle ignore ce qu'est vraiment ce "ici", rien de mal ne lui est arrivé jusqu'à présent. Elle a même réussi à ne pas s'attirer trop d'ennuis, ce qui est un exploit pour la Mayfield. Alors, elle se reprend, mais cherche à rejoindre une source de chaleur, ce qui la mène à rentrer dans le premier magasin qu'elle voit. Des vêtements. Un mince sourire s'étire sur son visage en repensant à Eleve, à leur sortie au centre commercial pour lui permettre d'avoir son propre style, sa personnalité sans l'influence de Hopper ou de Mike.

Puisque ce souvenir la réchauffe, elle continue de faire son petit tour dans le magasin, bien qu'elle n'ait pas un sou en poche et qu'elle n'ait pas la foi de voler cette fois-ci. Il lui faudrait un stratagème mais son cerveau a du mal à retenir les informations récemment. Perdue pendant un trop long instant dans ses pensées, elle sursaute légèrement lorsque quelqu'un s'adresse à elle. Les mots semblent venir de loin, elle met quelques secondes avant de tout remettre dans l'ordre et plus ou moins comprendre ce qui vient de se passer.

-Le plus important, quand on choisit des vêtements, c'est prendre ce qui nous plait. Je ne peux que... dire si ça s'assortit ou pas, dit-elle doucement en haussant doucement les épaules, un petit sourire sur le visage. Je suis Max.

Bon, elle a un peu oublié le principe de toute éducation : on ne parle pas aux inconnus. Et c'est vrai que quand elle regarde Sabito, il a l'air peur commun. Bien sûr, elle remarque la cicatrice sur son visage mais son regard ne fait que passer dessus, peu intéressée de le mettre mal à l'aise.
Sabito

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Prendre les vêtements qui plaisaient ? Était-ce si facile que ça ? Sauf que, pour Sabito, les bouts de tissus qu'il voyait, ce n'était pas... En fait, c'était tellement étrange, ça n'avait rien à voir avec la mode de son époque, surtout par rapport aux campagnards. Les gens des grandes villes, là, ça allait encore mais... En général ? Ils étaient loin, les différents styles de kimonos ou de yukatas. Le châtain penchait légèrement la tête en observant ces pantalons dans des tissus tous différents des uns et des autres... Dans ces blouses toutes... Toutes étranges.

"Cela vous semblerait... Bizarre si je vous dis que tout ce qui est dans cette boutique, m'est totalement inconnu ?"

Comment pouvait-il apprécier une "mode" qui était à des centaines d'années en avance par rapport à ce qu'il avait toujours porté ? Enfin, et encore, des centaines d'années... Le jeune homme avait juste vécu dans un pays fermé à toute trace de modernité, légère ou immense... Enfin, ça ne devait pas être étrange pour la jeune... Max ? Max, d'accord. Oh, il n'était pas à une bizarrerie près. Avec sa tenue de pourfendeur, les chaussures similaires à ce qu'il avait vu comme étant des tongs... Le balafré lâchait un léger soupir : il allait bien finir par pouvoir s'acheter l'un ou l'autre habit et ne plus être regardé comme un personnage sorti tout droit des autres écrans lumineux appelés télévisions. Déjà qu'il allait garder à vie cette balafre prenant la moitié de son visage, s'il se baladait comme un personnage d'une histoire abracadabrante !

"Tout m'a l'air tellement... Serré et serrant. Vous pourriez peut-être m'indiquer quels sont les habits les plus... Agréables à porter ? Qui n'empêchent pas de faire des mouvements amples, de courir ?"

Le japonais se tournait pour attraper une veste d'un orange vif. Ce n'était pas très discret mais les démons ne semblaient pas courir les rues de ce Tokyo-ci... Alors, pourquoi pas ? Quoique... Une couleur criarde ainsi ? Autant mettre un panneau sur son front : j'ai très mauvais goût. Son haori était le même depuis des années - depuis le début de son entraînement en tant que pourfendeur, en fait, avant même d'être un Pilier ou un potentiel Pilier -. Sa tenue était la même. Alors... En fait, peut-être que, oui, il n'avait aucun goût !

"Enfin, même si je ne m'y connais pas vraiment, je suis quasiment sûr que m'habiller comme une orange sur deux jambes, ça ne se fait peut-être pas. On me remarquera assez avec ma cicatrice, je devrais plutôt me fondre dans la masse. ironisait-il en remettant la veste pour regarder des couleurs plus neutres ou du blanc. Vous n'avez pas les traits japonais. D'où venez-vous ?"

Depuis son arrivée ici, il n'avait fait que rencontrer des êtres venant d'ailleurs, de continents éloignés ou de pays différents... Certains venaient même de monde n'ayant aucun lien avec celui-ci !

"Et de quand, aussi ? J'ai l'impression que... C'est un mélange de tout et de n'importe quoi, ici. Le Japon n'était même pas ouvert au reste du monde et on vivait dans une réelle bulle. Certains avaient même peur du train à vapeur, c'était dire."

Eh oui, ceux ayant peur des trains, auraient sûrement fait un arrêt cardiaque en voyant les voitures, motos et tout le reste...
Maxine Mayfield
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-Est-ce qu'il y a une chose qui peut encore paraitre bizarre ici ? qu'elle réplique en fronçant légèrement les sourcils.

Ici. Partout dans ce monde. Ces mondes. Là, tout ça, elle ne sait pas comment le désigner. Dustin aurait eu toute une théorie sur le lieu, aurait pu expliquer comment ça leur est arrivé et trouver une solution, mais Dustin n'est pas ici. Ni Eleven, ni Mike, ni personne. Il n'y a qu'elle, et Baelfire qui ne vient pas du même monde. Qu'elle a rencontré et qu'elle a plus quitté parce que sinon elle aurait été seule, parce qu'il est gentil là où elle est tranchante, plus facile à vivre quand elle, elle est têtue comme une mule. La présence de Bae la rassure après ce qu'elle a vécu mais pas assez pour qu'elle arrête de cauchemarder. Elle n'est pas non plus assez convaincue pour rester à la même place indéfiniment. Elle doit bouger, chercher ailleurs. Mais chercher quoi ? Ce qu'elle ressent à chaque fois qu'elle ferme les yeux n'est-il pas assez suffisant ?

Concentre toi à nouveau sur les vêtements, Max. Elle secoue légèrement sa tête pour éloigner ses pensées intrusives et regarde les vêtements du magasin. Il n'y a pas grand chose non plus qu'elle reconnait, bien qu'elle voit que certains habits sont clairement inspirés des années 80. Cette constatation lui donne un petit sourire. Elle aime beaucoup les habits de sa période, elle y a trouvé son compte. Si facile de s'habiller avec des vêtements larges et loin d'être féminins, parfait pour Max qui ne supporte déjà pas le fait d'être appelée par son prénom entier. Peu à peu, la gamine semble un peu plus chaleureuse, son visage est moins tiré par les marques d'inquiétude qui viennent la vieillir un peu trop.

-Vous tombez bien, j'adore les vêtements larges. Elle regarde la veste orange ; elle, elle l'aime bien. Parce que tout ce qui est fluorescent, généralement c'est joyeux, ça lui rappelle l'été 83 quand elle est devenue amie avec Eleven, leur journée shopping loin des gars. Elle le regarde curieusement ─ c'est vrai qu'elle a remarqué son masque mais la rousse ne s'en soucie pas plus que ça, alors elle hausse les épaules. Les gens trouveront toujours une raison de vous regarder de travers. Je suis d'avis qu'il vaut mieux l'assumer que le cacher.

Peut-être qu'elle a plus de courage que la majorité des gens, la gamine. Parce qu'être rousse, c'est se faire regarder au quotidien, entendre les moqueries des autres. Une telle chevelure combinée à un style vestimentaire garçon manqué, ça a toujours été un sujet qui appelle à la critique. Mais s'il veut quelque chose de discret, elle l'aidera pour ça ; après tout c'est à lui que ça doit plaire. Elle lui indique de la suivre, se dirige vers les rayons qui proposent des vêtements plus sobres mais assez amples. Elle fait des grimaces à certains habits où elle ne peut pas imaginer un être humain respirer dedans. Pourquoi faire des pantalons aussi serrés, bon dieu ? Une horreur.

-Je viens de Hawkins, en Amérique. Je vis dans les années 80. En arrivant ici j'ai vu des choses que je ne faisais que lire dans des comics ou imaginer avec mes amis, c'est assez... Incroyable et effrayant, vu ce qu'ils en ont fait, dit-elle avec un petit frisson. Et vous, alors ? A part le Japon, vous racontez quoi sur vos conditions de vie ?
Sabito

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Ce n'était pas faux. Tout était étrange. Surtout pour le jeune homme. De son Japon si en retard au niveau des technologies, où même un simple train à vapeur était un être menaçant pour les campagnards, il était arrivé en un endroit où il dénotait totalement. Autant par ses habitudes, par son accoutrement, par ce visage à moitié balafré. Alors, en simple réponse, Sabito secouait la tête à sa question : non, plus rien ne pouvait être considéré comme bizarre. Surtout qu'il était incroyablement seul... Il n'y avait pas Giyuu, il n'y avait pas ses proches, ni son maître, ni les démons... En somme, le japonais était perdu et seul, pouvant seulement compter sur la gentillesse des étrangers - ainsi que sur leur potentielle honnêteté.

Une chance, la jeune fille semblait connaître ce sujet qui était un réel mystère pour l'homme - les magasins de vêtements ne couraient pas les rues dans son Japon natal, comparé à ce Tokyo bien évolué par rapport à ce qu'il a connu -. Même si elle soulevait un fait intéressant, Sabito n'était pas connu pour être extravagant... Que du contraire. Cet haori blanc et le masque de son maître montraient qu'il appréciait la discrétion. Enfin, la discrétion de son temps. Certes, il était fier et pouvait se montrer des plus intransigeants... Mais il n'en restait pas moins un être calme et respectueux de son travail, de sa mission. Sauf que ce monde était un autre et il allait devoir s'habituer à celui-ci.

"C'est vrai. Vous avez raison. Je ne peux pas vivre en étant enfermé par le masque ou la peur d'être jugé. Mais je suis tellement habitué à ça, autant que je reste dans ce qu'il me reste de normal, pour moi. répondait-il, un léger sourire sur les lèvres."

Avant, les cicatrices étaient si... Normales. Réellement. C'était banal d'être balafré à un endroit ou à un autre. Surtout pour des pourfendeurs, des épéistes... Rien que ses mains, elles étaient caleuses, elles étaient parsemées de petits accrocs à force d'avoir manié le sabre, encore et encore. Puis, tout en gardant ce sourire, il suivait la jeune fille parmi les rayons en ayant un regard critique sur les vêtements qu'il pouvait apercevoir. Pourquoi donc y avait-il des pantalons avec de tels trous ? Ou même des hauts. En plus, de ce qu'il voyait, le prix n'était absolument pas donné... Autant prendre un pantalon normal pour, ensuite, y donner des coups de ciseaux, non ? La mode. Réellement, il n'y comprenait rien du tout. Pire encore, il jugeait silencieusement les créateurs et les appréciateurs de ce genre d'habits où, au final, il n'y avait presque plus de tissu ou plus de place pour respirer.

"L'Amérique ?"

Le Japon était si fermé, il connaissait ce pays mais il n'y avait jamais mis les pieds. Pire encore, tandis que la capitale se modernisait, les campagnes avaient décidées de rester enfouies dans une autre ère.

"Je n'y ai jamais mis les pieds. avouait-il en regardant un tee-shirt, de ce qu'il lisait sur l'étiquette, blanc. Les années 80... 1980 ? Car si oui, vous venez de mon futur."

Il prenait le tee-shirt, un peu perdu, désormais, en terme de tailles : qu'était ces L, XL, XXL... Qu'était-il, lui ? Comment fallait-il le calculer ?

"Eh bien, ma vie est un peu une histoire que l'on raconte aux enfants pour les effrayer. Je traque les démons, des êtres vivants la nuit et ne pouvant être tués qu'en ayant le cou tranché par des lames bien spéciales. Nous sommes une multitude à combattre ce fléau, à les tuer en espérant, un jour, vivre dans un Japon dénué de démons... Il semble que je sois tombé dans ce genre de Tokyo mais, bien plus évolué technologiquement. Chez moi, on accepte à peine le train à vapeurs. Autant dire que ceux choqués de voir ça, ils tomberaient morts en voyant les... Voitures !"

Il montrait ensuite le tee-shirt :

"ça devrait aller, non ? Je ne comprends pas ce système de taille, tout est fait sur mesure mais on dirait qu'il va avec ma stature ?"
Maxine Mayfield
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Weird is the new normal. Déjà dans son univers c'était le cas, Max a pu expérimenter la mode changeante, les nouvelles mœurs, sans oublier toute la technologie qui est apparue. Puis y a eu Hawkins et toutes ses frasques avec le surnaturel, les démogorgons, le mind flayer, et... Vecna. Sans compter toutes les pertes qui resteront toujours un mystère pour les autres mais qui sont terribles pour eux. Elle sent son cœur qui se serre à la pensée de Billy, puis c'est tout le reste de son corps qui se souvient de la douleur du moment où Vecna a gagné. Les membres brisés, le sang qui coulait, les larmes qui dévalaient ses joues alors que Lucas pleurait et criait aussi. Elle serre ses poings et tente de s'ancrer à nouveau dans la réalité, de chasser de sa mémoire ce qu'elle a vécu. Elle est en vie et c'est le plus important, c'est même tout ce qui devrait compter. Mais elle est hantée par chaque sensation, même sa chanson favorite ne l'aide plus. Les insomnies la dévorent autant que la solitude qu'elle ressent depuis son arrivée ─ c'est même étrange de parler plus longtemps que "non merci" à quelqu'un d'inconnu.

-C'est votre choix. Mais ce qui compte, avec un vêtement, c'est de le porter pour soi et pas à cause ou pour les autres, sinon on s'en sortirait pas. Enfin, faut pas trop penser à la manière dont les gens nous perçoivent, finit-elle par dire avec un petit haussement d'épaule puis un sourire en coin.

Si elle peut au moins l'aider à lui sélectionner des habits qui feront qu'il se sentira à l'aise, la rousse en sera très contente. Elle n'a jamais été du genre à se soucier de comment les autres se fringuent, notamment car après le divorce de ses parents, sa mère a connu des soucis financiers et elle a fait comme elle a pu avec ce qu'elle avait. Quand elle s'est remariée avec le père de Billy, bien sûr ça a été mieux, mais maintenant qu'elle est de nouveau divorcée... Elle est une épave tout court. Alors depuis que Max est partie, elle n'ose même pas imaginer si sa mère a encore une caravane dans laquelle vivre. Encore un souci qui la tourmente et qu'elle ne pourra pas résoudre ─ retourner dans son univers serait... eh bien, mortel. D'une oreille attentive, bien que ses yeux sont fixés sur les différentes rangées de vêtements et qu'elle regarde un peu distraitement ce qu'il prend, elle est de suite titillée par son discours. Des démons ? Des lames ? Des trains à vapeur mal accueillis ? Wow ! Ses yeux s'écarquillent et la rousse sent un regain d'énergie comme elle n'en n'a plus eu depuis longtemps.

-Attendez, quoi ?! Les démons ressemblent à quoi ? Comment vous les tuez ? Enfin avec des lames oui mais y a différents types ? Puis c'est quoi vos armes ? Y en a beaucoup comment, des démons ? Mais c'est trop cool ! Enfin, peut-être pas mais vous venez d'un passé plus classe que le passé que je connais ! Oh, heu, les vêtements oui... Hmm, le meilleur moyen de savoir si un vêtement vous va, en taille et aussi en visuel, c'est d'aller l'essayer dans une cabine d'essayage. Je vous conseille de prendre tout ce que vous voulez essayer puis de faire tous vos essayages d'un coup. Il y a des miroirs pour voir le rendu puis si vous avez des doutes, je vous attendrai, qu'elle dit avec rapidité et énergie, quelque chose qu'elle n'avait pas jusqu'à présent.
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