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avant toi c'était rien, ou si peu que mon corps, avant toi se souvient, de s'être senti mort (ft. Frenchie)

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Kimiko Miyashiro
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c'est que tu frappes pas assez fort

Kimiko Miyashiro


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Tu l'as retrouvé comme on retrouve le chemin de chez soi. Tu as cherché, tu t'es fait un mauvais nom au sein de New York. Une femme animale, ou plutôt, un animal sauvage qui a pris les traits d'une pauvre jeune femme. T'es pas une pauvre jeune femme. T'as été créée pour être une terroriste, une dangereuse créature, une sup' qu'on peut pas arrêter si facilement. Tu as même fait pire que ce pour quoi tu étais prévue à la base, Kimiko. Tu t'es enfuie. On t'a libérée. Tu as compris ce qu'ils t'ont fait, et plus tu as passé du temps avec les gars, à comprendre pourquoi ils en étaient arrivés là, plus t'as apprivoisé leur haine, surtout celle de Butcher. T'as absorbé tout ça : t'as vu le mal que Vought a causé. La tristesse sur le visage d'Hughie. La colère sur celle de Butcher. Pour Frenchie, c'est la honte. Et Mother's Milk, c'est l'inquiétude. Muette, mais pas insensible. Tu t'es nourrie de tout ça pour alimenter ta propre colère. Le souci, c'est que tu fais jamais la différence entre la réelle injustice et ta propre cruauté.

Tu l'avoues, y a une partie de toi qui aimes bien ce que tu infliges aux autres. C'est cette partie de toi qui te répugne aussi le plus, parce qu'elle te rappelle Homelander, et tout ces héros qui se pensent au-dessus de la loi. Le souci, c'est que cette partie gagne toujours quand t'es loin de Frenchie. Tu ne comprends toujours pas ce qu'il voit en toi, comment est-ce que quelqu'un d'aussi gentil et attentionné a pu trouver une once d'humanité en toi. T'étais qu'un animal en cage quand il t'a trouvée, et t'as tenté de le tuer quand il a voulu t'aider. Pourtant, il a persévéré, contre l'avis de Butcher. Peut-être qu'il a eu raison. En tout cas, t'es contente qu'il n'ait pas baissé les bras, parce qu'il t'a permis de récupérer ta liberté, de revoir le monde extérieur. Même si ce monde est beaucoup plus solitaire et triste, sans ton frère. Même si ce monde craint, et pas qu'un peu, y a une petite partie de toi qui te dit que c'est mieux comme ça, dans la réalité où tu pourras peut-être aider quelqu'un, un jour.

Mais ce nouveau monde, dans lequel t'es arrivée y a peu, tu le détestes pour t'avoir séparé de la seule personne capable de te calmer, de te rendre un peu plus humaine. Trop longtemps, tu t'es contentée d'être ce que les gens pensaient de toi : une sauvage avec des pouvoirs. Et tu sais pas comment ça t'a pris. T'as repensé à Frenchie. C'était un soir, y avait une fête. Et t'as entendu une chanson, une parmi tant d'autres, mais tu t'es souvenu. Il la chantonnait parfois. Alors, t'as su ce que tu devais faire : le chercher, mais pas à la manière Kimiko. Tu t'es incrustée parmi les fêtes, les raves. T'as été de fournisseur en fournisseur. Parfois, t'as usé de la force.

Et tu l'as retrouvé. Après avoir légèrement agressé le tenancier de la boutique, il t'a montré les escaliers de la cave. Avec méfiance, tu t'es mis à descendre. De toute façon, s'il ferme la porte, tu la défonceras, puis tu en finiras avec sa vie. Mais tu l'as directement repéré, malgré tout le bordel. Si tu avais eu ta voix, t'aurais murmuré son prénom. Mais tu as juste pu te contenter de parcourir la brève distance entre vous et te jeter dans ses bras, soulagée. Ton humanité peut enfin revenir, maintenant.
Le Frenchie
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Le Frenchie


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Un saut dans un monde différent, qu’est ce que c’était après tout pas grand chose. En fin de compte c’était comme changer de pays, dans son monde il y avait déjà des connards prétentieux à pouvoirs alors forcément c’était un peu moins choquant de trouver des humanoïdes surnaturels ou autre. Alors oui c’était comme un déménagement, sauf qu’il n’avait rien demandé et qu’il se retrouvait incroyablement seul. Sa vie avait été tellement animée et entourée pendant plusieurs mois que là il avait pris la solitude de plein fouet. Si on lui avait dit qu’il aurait quitté ses magouilles avec Nina pour en faire de nouvelles avec monsieur le charcutier lorsque ce dernier l’avait appelé pour une urgence. Il n’en serait peut-être pas là s’il n’avait pas répondu à son appel, s’il n’avait pas été présent lorsque Butcher et Hughie avaient ouvert ce coffre de voiture sur translucide ligoté. Il y avait un paquet de choses qu’il regrettait dans sa vie, mais la décision de les aider ce jour-là, il ne la regrettait pas car elle l’avait amenée à faire quelques trucs bien en fin de compte, mais surtout elle l’avait menée à faire sa rencontre. Comment quelqu’un qu’on ne connaît pas peut nous manquer à ce point ? C’était la question que le Frenchie se posait assez souvent. A partir du moment où il avait posé les yeux sur elle, quelque chose s’était créée, quelque chose était apparu en lui et il n’avait plus eu envie de la quitter une seule seconde. Ce que Butcher, Mother Milk, Hughie et les autres pouvaient penser d’elle il s’en contre foutait cette bande de connard ne s’en prendrait pas à elle tant que de l’air entrera dans ses poumons. Au final elle était plus que capable de se défendre seule, et même si le Frenchie le savait il avait cette envie irrépressible de la protéger.

Ils avaient traversé mille et unes situations improbables et dangereuses, ils avaient buté du super, ils en avaient mis certains hors d’état de nuire. Elle était morte, ressuscitée, blessée, guérit, triste, en colère mais aussi souriante et coquette. C’était son absence qui était le plus dur à accepter. Leurs conversations à demi-silencieuses, leurs danses, son regard curieux sur le monde comme si elle découvrait ou redécouvrait les choses simples encore une fois. Elle pouvait compter sur lui plus que sur n’importe qui et vice et versa. À présent il était seul, boss de ses propres magouilles et incroyablement seul. Le QG de son capharnaüm était dans une cave, que de souvenirs ça ressemblait assez à leur ancienne planque quand on y pense. Ce n’était peut-être pas un hasard. Pour commencer c’était le genre de planque vieille comme le monde, enfin vous voyez l’idée, un exemple de planque sûre pour magouilleur pro du débutant aux plus expérimenté et puis le Frenchie était un grand sentimental dans le fond.  

Il avait tourné en rond toute la journée, tentant de s’occuper l’esprit par ses petits bricolages, les problèmes de comptes, les plans pour la suite du business. Une fois le soir venu, il avait dégagé une bonne partie des gars qui stagnaient dans la planque pour être un peu tranquille. Évidemment il y aurait toujours quelqu’un d’autre non loin, à l’étage, en dehors de la boutique-leurre, mais ce n’était pas vraiment la compagnie qu’il voulait. Ils pourraient faire tout ce qu’ils veulent, ils ne seront jamais les mêmes Boys que les siens. Qu’aurait-il fait si ça avait été elle qui était dans son état ? Il serait sans doute resté près d’elle, d’abord silencieux, ensuite il aurait pris la parole, pour la calmer, la soulager ou lui changer les idées. Il lui aurait peut-être bien cuisiné un petit plat avec le dessert qui va bien avec. C’est là que la petite ampoule s’était allumée. Il s’était alors mis à cuisiner, les bons petits plats avaient toujours eu le pouvoir d’apaiser les tourments, même si c’était de courte durée. Il est bien scientifiquement prouvé que le chocolat avait des vertus, libérant des transmetteurs de dopamine dans le cerveau. Ce n’était pas une grande aide mais c’était un mieux déjà, il pensait que ça plus le fait d’être un peu seul serait la seule thérapie dont il aurait besoin en attendant de la retrouver. Il émit un soupir en entendant la porte de la planque, il était plus que prêt à envoyer paître la personne qui gênait sa tranquillité, mais en se retournant l’envie lui passa. Il lâcha tout ce qu’il avait dans les mains et ne réussit pas à faire un quelconque mouvement. C’est elle qui rompit la distance qui les séparait. Il n’en revenait pas, c'était comme dans un rêve. “Mon coeur.. Is that really you ? ” Il aurait pu pleurer de joie tellement il était soulagé de la revoir
Kimiko Miyashiro
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Quand t'as reçu le V, t'as cru que tu ne serais plus jamais Kimiko. Que tu resterais toute ta vie une bête enfermée, quelque chose qu'il faut craindre et utiliser. Au début, t'as pas compris pourquoi Frenchie t'a sauvée, pourquoi il s'est évertué à te protéger alors que les gars soutenaient que la meilleure idée, c'était de te tuer. Mais à force de passer du temps avec lui, t'as compris pourquoi il t'a sauvée. Parce qu'il pense que t'es son miroir. Parce qu'il croit être un monstre, alors il se dit que s'il arrive à te sauver, il sera pardonné pour ce qu'il a fait de mal. Toi, tu sais que tu es loin d'être humaine. Pourtant, c'est pas faute de rêver d'une vie normale. De pouvoir danser avec Frenchie sans retenir ta force, enfin pouvoir le sentir réellement. Pour toi, tout les humains sont des brindilles. Quand tu touches Frenchie, tu dois toujours faire attention. Tu fais comme si c'était un jeu d'enfant pour pas qu'il s'inquiète, mais à chaque fois, ça te coûte. Mais pour lui, aucun effort n'est de trop. Et t'aimerais lui faire comprendre que pour être pardonné, il n'a pas besoin de te sauver. Vous n'êtes pas des monstres ; vous êtes le résultat de ce qu'on vous a infligé.

Si seulement il pouvait voir ce que tu vois dès que tu le regardes. Peut-être qu'en cet instant même, lors de vos retrouvailles, il voit dans tes yeux les étoiles, comment tu le regardes avec toute la tendresse et l'espoir ; tu le regardes comme une survivante d'une île déserte qui voit un bateau arriver au loin. Tu le regardes comme tu le regardes depuis quelqu'un temps, Kimiko : avec amour, même s'il ne le voit pas, puis tu t'en rends pas compte. C'est tellement bizarre l'amour pour les gens comme toi, ceux à qui on enlève toute humanité pour en faire des armes. Peut-être que tu es toujours une arme, mais tu sens de nouveau ton cœur battre à présent. You're a fucking gun with a heart. Tu le serres dans tes bras, t'aimerais que ça soit plus fort pour toi mais tu tiens pas à le faire exploser. Quand il parle enfin et que t'entends son accent français, tu souris, tu te sépares de lui pour le regarder dans les yeux.

-Tu veux que je danse pour le prouver ? tu demandes en signant avant de te saisir de sa main.

Tu fais une petite danse qu'il t'a appris, toujours ce sourire sur le visage. Finalement, ce monde, il sera pas si mal. Tant que tu le voyages en bonne compagnie, ça importe peu. Mais tes yeux... Ils glissent sur la planque de Frenchie et tu remarques tout ce qu'il fait là. Tu le savais déjà car c'est comme ça que t'avais remonté la piste jusqu'à lui, mais le voir, ça te fait autre chose. Visiblement, tu n'es pas la seule à être retombée dans tes anciens démons. Tu t'éloignes de lui, les sourcils froncés. T'inspectes un peu le lieu, ça te met en colère, dans le fond. T'aurais dû le retrouver avant. Et t'aurais pas dû céder à tes instincts primaires non plus. Tu pinces tes lèvres entre elles avant de te tourner vers lui, cette fois avec une plus grande distance entre vous.

-Pourquoi est-ce que t'as recommencé ce business ? Je croyais que t'en avais fini, en même temps que de chasser du sup', tu dis avec inquiétude sur ton visage.

T'étais mal placée pour lui faire la réflexion. Mais Frenchie, il mérite mieux que juste plonger dans ses business de drogue et retomber dans la consommation de celle-ci. Il mérite plutôt de... Cuisiner, voyager, danser. Il mérite de retourner à Marseille, de vivre heureux loin de tout ce qui l'a consumé. Loin de Butcher, de Mallory, de tout le monde. Toi y compris. Mais toi, tu ne sais pas si tu as la force d'un jour le laisser partir.
Le Frenchie
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Le Frenchie


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Si se retrouver seul en ce monde étrange avait été un cauchemar, aujourd’hui il n’en était plus rien. On venait de lui prouver qu’il n’avait plus à râler avec autant d’implication à présent. Le Frenchie était un homme simple, il se satisfaisait de peu de chose et pour lui-même quelque chose de simple pouvait être synonyme de bonheur si on savait l'apprécier comme il le fallait. Tout le monde savait très bien que le Frenchie avait toujours tout fait pour mener sa vie comme il l’entendait, la liberté, la vraie c’était de faire ce que l’on voulait quand on le voulait. Bien évidemment c’est toujours plus facile de vivre ainsi quand on ignore les règles et les lois, et quand il se faisait choper ça faisait mal. Comment aurait-il pu se retrouver dans de telles situations en restant du bon côté de la loi ? Vraiment ça semblait impossible. Et bien qu’il devait vivre avec ses regrets éternellement il n’aurait rien changé, pas même une virgule, car à côté de tout ça, de tout le mauvais il y avait tellement de bons moments. Ça, il le savait, une autre vie ne lui aurait pas apporté ça. Ou peut-être bien que c’était tout le côté mauvais qui rendait le reste mieux que mieux.

Il avait peut-être vécu toute cette merde pour en arriver à ce moment précis. Ce moment où elle était réapparue dans sa vie. Il n’en croyait pas ses yeux mais ces derniers étaient plus que ravis. Il n'avait aucunement envie de la lâcher à présent qu’elle était là, comme s’il avait peur qu’elle ne disparaisse. Maintenant qu’elle était là il avait tellement à perdre. Il n’avait pas réellement besoin qu’elle réponde à sa question, il avait juste tellement espéré la retrouver jusqu’ici en vain, qu’il avait du mal à croire que ça puisse être le moment. S’il y avait bien quelqu’un qui reconnaîtrait peu importe le lieu ou le monde qu’il pouvait y avoir c’était bien elle. La voir danser lui avait tellement manqué, et s'il s’était senti d’humeur maussade là il n’en était plus rien. Elle avait chassé d’un sourire et d’une danse tout nuage qui pouvait entacher sa journée. Il pourrait presque avoir l’impression qu’ils ne s’étaient jamais quittés, mais ce serait un mensonge à lui-même. Il avait mal vécu cette séparation forcée, parce qu’il avait tellement pris l’habitude qu’elle soit là que ne plus l’avoir d’un coup avait été comme si on lui arrachait le cœur de la poitrine. “There is no doubt the one and unique Kimiko is enfin by my sides again.”

Il avait de nouveau ce sourire qui lui était propre vissé sur le visage. La petite danse qu’elle lui fait c’est une des choses qui leur est propre à eux et à personne d’autre. Ses mouvements sont parfaitement exécutés et le Frenchie pourrait la regarder danser pendant des heures sans jamais s’en lasser. Elle tourne une fois, deux fois, trois fois et il peut constater que son expression change. Il sait très bien pourquoi elle a cette petite mine tout d’un coup, elle avait sans doute espéré le retrouver dans un autre environnement que celui-ci. Aussi étrange que ça puisse paraître les caves remplis d’armes et de stupéfiants ça ne fait pas vibrer tout le monde. Il faut bien de tout pour faire un monde qui était-il pour juger ? Chris Marques ? Non, alors il ne jugeait pas, ou si mais en silence. En tout cas sa réaction confirme son hypothèse. “Well, this is what know the best. I know what I’ve said but what was I supposed to do to be able to find you or a way back to you ?” S’il avait du faire via la voie légale, et bien il ne sait même pas s’il serait parvenu à quoi que ce soit en fait.

Kimiko Miyashiro
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Vous vous êtes trouvés de bien des manières. Vous vous êtes trouvés dans l'obscurité, dans la violence et la colère mutuelle ; puis vous vous êtes trouvés dans la tendresse, dans l'équipe et l'espoir que chacun devienne meilleure. Le pire, c'est quand vous vous êtes trouvés dans le désaccord, les disputes et l'incompréhension. Ces derniers temps, vous vous êtes trouvés dans la danse, l'acceptation de chacun et la résolution de conflits, l'apprentissage chacun d'un nouveau langage inconnu. Et maintenant que vous vous retrouvez, tu ne sais pas encore de quoi il va s'agir. Il y a ce nouveau monde et tout les dangers, les promesses que vous vous étiez faites et cette cave. Tu aurais aimé le trouver ailleurs, tu ne sais pas trop où. Dans un club, peut-être ? Ou à la lumière du jour, en train d'aider quelqu'un d'autre ? Tu n'étais pas d'accord avec le fait qu'être enfermé dans cette cave, dans des business bien trop sombres, était ce qu'il faisait de mieux. D'ailleurs, à ses mots, tu secouas la tête et tu te rapprochas de lui de quelques pas.

-C'est faux. Tu t'enfermes dans ce que tu fais de mal car tu penses que c'est tout ce que tu peux faire de mieux, mais quand je te regarde, je vois un homme avec un cœur plus grand que son corps et un cerveau qui dépasse mêmes les étoiles. Si je peux être une meilleure personne... tu te rapproches de lui, tu signes tes derniers mots avant de saisir sa tête entre tes mains. Alors, toi aussi.

Tu lui offres un sourire honnête avant de coller ton front contre le sien pendant quelques secondes. C'était difficile pour toi d'avoir autant de contact physique avec quelqu'un. Non seulement on t'a fait subir plus d'une fois des violences physiques, ce qui t'amène à plus vite croire qu'on va te frapper plutôt que te caresser délicatement, mais le fait d'être une sup' rend ça encore plus compliqué. Tu sens sa peau mais tu sens surtout à quel point il est fragile, tu as l'impression de le frôler alors que tu es sûre qu'il te sent. Il suffirait d'une pression trop forte pour lui faire du mal et ça, tu ne le supporterais pas. Alors tu te recules de quelques centimètres pour éviter une catastrophe, comme si le fait d'être trop proche de lui te brûlait. Tu aimerais lui en offrir plus, tu commences à être prête pour, mais tu ne peux pas le faire au détriment de sa vie.

-Alors, qu'est-ce que tu veux faire ? que tu lui demandes, dans l'espoir qu'il choisisse, pour une fois, ce qui lui irait à lui. Pas besoin de penser aux volontés de Butcher ou encore tout les crimes qu'il a fait et qu'il a sur sa conscience ─ juste lui. Et toi, tu le suivras. T'iras péter des gueules pour sa paix s'il le faut, tu montreras à quel point tu peux être monstrueuse si ça lui donne la tranquillité. Ou alors, tu te contenteras de danser avec lui dans une énième fête, vous galérerez à trouver où dormir la nuit et vous monterez des escroqueries pour subvenir à vos besoins. Tout ce qu'il voudra, tant qu'il soit loin de cette cave et que vous soyez ensemble, prêts à compter l'un sur l'autre.
Le Frenchie
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Le Frenchie


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Des étiquettes, on a tous des étiquettes qui nous sont apposé par des personnes et qui nous collent à la peau tout au long de notre vie. Le Frenchie en avait tout un tas qu'il aurait tant aimé pouvoir effacé. Mais c'était loin d'être comme l'historique internet, loin d'être aussi facile. Les étiquettes qu'il se coltinait était comme c'est fenêtre pop up qui viennent toutes les deux secondes sur votre écran d'ordinateur et que vous avait beau fermé la fenêtre elle réapparait presque aussitôt. Lui lorsqu'il pensait être enfin libéré, délivré, il ne mentira presque plus jamais, elles lui revenait en pleine tête telle une maladie vénérienne dans un bordel. Tout le monde le savait, lui comprit alors il y a des fois où même avec toute la bonne volonté du monde il finissait par se résigner et y croire, comme si c'était une fatalité. Mais visiblement Kimiko la fatalité, elle lui dégommait les genoux  à coup de batte. Elle avait bien changé depuis cette fille qui l'avait agressé dans cette bouche de métro. Changé n'était peut-être pas le terme, elle avait plus apprit à faire confiance à une poignée de gens surtout, et le Frenchie remercier le ciel tous les jours d'en faire partie.

Dans un certain sens il avait limite l'impression de s'entendre lui-même lorsqu'il lui disait que suivre Nina n'était pas une solution. Mais elle a sans doute plus de tact que moi dans ses paroles. Enfant enlevé, environnement instable, ptit dealer, racaille, tueur, fugitif, vendeur d'arme, botteur de culs de supes. Dans le fond qu'était-il réellement, qui était-il réellement ? Serges, Sergei, le Frenchie. Il préféré largement le Frenchie aux autres. Elle a le pouvoir de mettre du baume sur ses blessures invisibles rien qu'avec ses mots, enfin ses signes. Comment ne pas être capable de lui fournir un sourire après ce qu'elle venait de lui dire.  “ If my brain is that big soon I'll look like Jimmy Neutron mon coeur. I've known plus sexy.” Plaisanta-t-il. Ils faisaient une belle brochette tous les deux, mais au moins ils étaient sur le même pic et ça c'était le plus encourageant. “You're right as presque always. It was easier than built something new.”

Si elle savait à quel point il pouvait être fière d'elle, en même temps ce n'était pas très dure, il l'aimait autant qu'il l'admirait. Elle aurait pu dessiné un bonhomme bâton en disant que c'était un portrait il aurait été fier. Fier d'elle, fier d'être près d'elle, il avait plus d'une raison de l'être et encore plus de le rester. Les promesses, les projets, il y tenait toujours, et ce plus que tout au monde. C'est assez drôle de ce dire qu'ils aspiraient tous les deux à des vies "plus tranquilles", les événements s'étaient succéder à une vitesse folle, bien plus que ne l'a jamais été un cours de math ou encore un documentaire sur l'URSS ou la Guerre Froide sur ARTE. Il profite de chaque seconde qu'elle lui offre avec ces contacts privilégiés qui malheureusement ne dure pas éternellement. Il pense savoir pourquoi mais ne pourra probablement jamais vraiment comprendre, jamais il ne pourra comprendre ce que ça fait d'avoir sa force. Entre le don et la malédiction il n'y avait qu'un pas, mais lui il était convaincu qu'elle était incapable de lui faire du mal même sans le faire exprès.

Elle lui pose une question sur laquelle il doit réfléchir. En tout cas c'est sûr qu'il allait choisir de prendre l'air avec elle, ils avaient passé assez de temps sous terre tout les deux.  “ It seems a little bit foutu for us to go to Marseille..” Il réfléchit encore, regarde autour de lui. Meh rien de bien inspirant sauf l'être vivant qui lui fait face bien sûr. “ Are you hungry ?” Finit-il par dire subitement. “I don't talk about a real plat, but plus about some malbouffe. Waffles with chocolate, des crêpes maybe with a supplément chantilly.”
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-Qui te dit que moi je ne trouve pas ça super attirant ? tu signes en arquant un sourcil.

Après, tu n'es pas vraiment une référence parce qu'au Japon tu n'as jamais eu de quelconques sentiments amoureux pour qui que ce soit, puis t'as été une sup. Il n'y a qu'avec Frenchie que cette ambigüité réside dans votre relation. Et plus sincèrement, ce n'est pas par son physique que tu le trouves attrayant. Tout se passe quand il a une superbe idée en plein milieu de la nuit, quand il se met à cuisiner parce qu'il pense avoir trouvé un goût révolutionnaire. Quand il tend la main à une gamine au sol, quand il te serre doucement dans ses bras quand il voit que t'es triste. Ce que tu ressens, tu ne le ressens pas parce que tu l'as d'abord trouvé séduisant, au contraire ─ tu lui trouves tout son charme car tu le connais, tu sais ce qui se cache sous ce sourire con et ses mains un peu trop pleine de sang, comme les tiennes. C'est très doux et ravageur à la fois, tu ne sais pas trop sur quel pied danser. D'un côté t'apprécies la proximité dont vous faites preuve, de l'autre... Eh bien, vous voulez des vies tranquilles, sauf que vous êtes des personnes d'action. Tu le sens à chaque fois que tu veux agir face à une scène, à chaque fois que ta colère remonte et que tes pouvoirs semblent prendre le contrôle sur toi. Pour lui, ça semble plutôt être d'ordre moral, quelque chose qu'il ne peut pas fuir. En même temps, il est plus humain que toi tu ne seras jamais à cause du V.

Mais pour cette fois, tu veux éviter de penser à ce que vous êtes, qui vous êtes. Car de temps en temps, vous arrivez à juste être Kimiko et Frenchie, c'est amplement suffisant pour te rendre heureuse. Et après cette arrivée dans cet univers, après l'avoir vu dans cette cave et avoir compris qui il était redevenu, t'as bien besoin d'une piqûre de rappel de ces situations où cela importe peu de vos pouvoirs ou facultés intellectuelles. Tu hoches vivement la tête à sa proposition, un grand sourire sur le visage. Rien que d'y penser, tu sens ton estomac qui gargouille. Tu tentes de réfléchir à la dernière fois que t'as vraiment mangé. Quand on s'habitue à la cuisine de l'homme, c'est compliqué de se contenter d'autre chose ─ mais elle a surtout passé la majorité de son temps à combattre et le chercher. Pas le temps pour le reste. Tu ne voulais pas te distraire de ces deux objectifs : survivre et le trouver.

-Est-ce que tu cuisineras la prochaine fois qu'on mangera ? tu signes avec une petite moue.

Mais t'en attends pas plus pour sortir de ce maudit lieu. Une fois que tu as sa réponse, tu frôles sa main du bout des doigts en montrant les escaliers que tu empruntes directement pour remonter à la surface. Quand tu passes dans la boutique, le vendeur parait toujours terrifiée de te voir, tu lui prêtes pas plus attention que ça. Tu sors à la lumière du jour et le vent vient fouetter ton visage alors que tu te tournes vers la personne que tu préfères au monde.

-J'ai vu personne qu'on connait. Apparemment, il n'y a que nous deux.

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On se rend compte d'à quel point les choses ou les personnes peuvent nous manquer qu'au moment où on les perd. Il n'avait pas fallu longtemps au Frenchie pour que Kimiko lui manque comme si cela faisait des décennies qu'il ne l'avait pas vu. Faire face à son absence sans jamais la trouver malgré tout ce qu'il avait entreprit avait été un sacré coup. Alors imaginez un peu ce que cela pouvait lui faire de la retrouver enfin. C'était comme si pendant tout le temps où il avait été séparé d'elle un poids de plus en plus lourd s'était fait dans sa poitrine et qu'il venait enfin de s'envoler. Il l'avait retrouvé et enfin il était de nouveau entier. Il lui fit une mine surprise. Bah ça il ne l'avait pas vu venir c'était le cas que le dire. C'était bien la première fois qu'elle lui disait quelque chose comme ça, ou bien qu'elle parlait directement de ce genre de sujet, il y avait bien de quoi être surpris. Elle venait de le moucher, qu'est ce qu'il aurait bien pu répondre à ça sérieusement ?

Il aurait largement préféré que la discussion reste sur cette ligne de conduite, drôle et légère, le genre de conversation où l'on a forcément le sourire du début à la fin. C'était inévitable qu'elle lui fasse une remarque sur son nouveau cocon. En fait ça n'avait rien de très nouveau, lorsqu'ils étaient en cavale ils étaient dans le même genre de cave. Ils avaient aspirer à s'éloigner de ce genre de lieux, il était bien loin d'une amélioration. En fait il n'avait pas avancé d'un poil, on pourrait même presque dire qu'il avait reculé. Mais c'était sans doute parce qu'il ne voyait pas avancer tout seul, ou juste il avait besoin d'elle pour le faire. Il s'était interdit beaucoup de choses sans vraiment le crier sur tous les toits et il fallait croire qu'il n'y avait qu'elle pour lui montrer qu'il méritait peut-être autre chose. Il n'avait pas besoin de le lui dire, elle voyait clair en lui, il était d'ailleurs persuadé qu'il était incapable de lui mentir, elle verrait instantanément qu'il y a un problème. Au moins elle avait le don d'apaiser ses mal être, et rien que sa remarque sur la cuisine avait réussit à lui faire penser à autre chose. “It would be my pleasure to cook for you.”

Ca faisait un moment qu'il n'avait pas cuisiné, enfin qu'il s'était réellement appliqué en le faisant. Et puis il n'avait plus eu grand monde pour qui cuisiner, alors cuisiner pour elle semblait être la meilleure des raisons qu'il puisse avoir. “I'll do even better mon coeur. I'm gonna cook you la totale, entrée, plat dessert. And we'll eat in a way much better place than this. I'll find you a little bout de France.” Il devait bien avoir un endroit qui y ressemble ici, même un tout petit peu. En tout cas ils auraient tout le temps de trouver l'endroit pour que ce repas là soit un vrai petit moment parfait, en dehors du temps. Il était content de sortir de cet endroit, encore plus avec elle. Elle avait visiblement fait des dégâts et en réalité il n'en avait rien à faire. C'était sans doute égoïste et très peu altruiste mais eux ne comptaient pas à ses yeux, surtout pas en comparaison avec elle. Ca faisait longtemps qu'il n'était pas sorti de son espèce de trou à rat et ça semblait lui faire du bien en fin de compte, la lumière agressait presque ses yeux. “I haven't seen anybody neither. You're the first.” Probablement le plus important à ses yeux.

“I think I know where to have the good snack” Il commença à avancer avec elle. Alors il aurait presque eu l'impression qu'ils n'avaient jamais été séparé, c'était assez étrange en y repensant car il savait pertinemment qu'ils avaient été séparé, surtout vu comment il l'avait vécu. “Is it really grave if there is just the two of us ? I mean, Monsieur charcutier for exemple, he is an asshole so..”

Kimiko Miyashiro
ADMIN BOURRIN
c'est que tu frappes pas assez fort

Kimiko Miyashiro


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Statut civil : en train de danser avec Frenchie
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Il y a tellement de choses que tu aimerais dire à Frenchie et encore plus d'actes que tu aimerais lui montrer, mais tu n'as ni les mots, ni la délicatesse pour. T'as bon essayé, le V en toi reprend le dessus. Tu ne peux pas voir les êtres humains non modifiés comme tels, ils ne sont que des brindilles entre tes doigts et ça te déchire de ne pas sentir Frenchie comme tu voudrais le faire. Tu peux pas lui retourner la façon dont il te traite physiquement parce que t'as trop peur de lui faire du mal physiquement, de le tuer sans le vouloir et te retrouver seule, malheureuse, incapable de te tuer ou d'être tuée. Ou alors, tu devrais te vendre aux Seven, mais t'as trop peur qu'ils t'utilisent. Qu'ils fassent de toi encore une expérience. Un modèle pour d'autres. Un exemple de ce que l'Amérique représente. Alors tu tentes de trouver comment signer ce que tu penses, pour pas qu'il ne s'éloigne, qu'il ne pense que tu ne ressens rien pour lui ; mais vous savez tous les deux que ça sera toujours compliqué. Qu'il y aura toujours plus que vous à prendre en compte, peu importe le monde, l'univers, le temps. Mais tu entrevois un peu d'espoir quand il dit qu'il cuisinera pour toi, quand vous sortez de cet endroit trop sombre pour un avenir que vous vouliez quitter pour plutôt rejoindre la France et quelques pistes de danse. Au moins, vous avez un œil l'un sur l'autre et c'est ce que vous avez de plus précieux, même si le reste des Boys n'est pas le pire qu'ils auraient pu avoir. Sauf Butcher.

-Je pourrais t'aider pour le dessert ? tu signes avec plein d'excitation.

Parce que tu aimes faire des desserts avec lui, puis c'est le moment préféré lors d'un repas complet. Certainement car vous aviez pas droit à des desserts quand tu étais au Japon, avec ton frère. Parce que vous n'étiez rien que des fourmis et vous deviez déjà être satisfaits de ce qu'on offrait à des orphelins enrôlés dans une organisation terroriste sans que vous ayez réellement accepté quoique ce soit. Vous avez juste voulu survivre dans un monde qui vous a tué à petit feu. Toi t'es encore en vie, pas ton frère. Et tu te sens pas légitime à te morfondre, après tout ce que vous avez tous enduré. T'as juste accepté ta colère et t'es passée au-dessus de celle-ci ─ notamment en foutant une raclée à Stormfront, qui le méritait amplement. Tu suis Frenchie qui sait toujours où t'emmener, lui qui a toujours son esprit en ébullition, qui ne manque jamais d'idées pour quoique ce soit. Admiration certaine cet esprit qui est le sien, mais encore plus pour son cœur. Tu secoues négativement la tête à sa question, un peu paniquée qu'il pense que tu préférerais avoir tout le monde. C'est faux. Juste lui te suffit, à deux vous pouvez (sur)vivre.

-Butcher est un enfoiré mais Hughie et Mother's Milk sont des bonnes personnes. Être juste avec toi ne me dérange pas, mais à nous quatre on pourrait faire des trucs supers, sans l'esprit de gros connard de Billy, tu dis avec un air un peu froncé, jamais contente de parler du britannique.

Puis y a aussi Starlight que t'apprécies beaucoup, même si tu ne peux pas la qualifier d'amie. Enfin, est-ce que votre groupe peut se qualifier d'amis, après tout ce que vous avez fait ensemble ? Les atrocités, les insultes, les crimes, les divergences d'avis. Vous vous êtes liés dans ce qu'il y a de pire, mais d'un autre côté, il t'est arrivé le meilleur en rencontrant Frenchie. Et Mother's Milk a cette facilité à rassurer lorsque le doute habite quelqu'un, de faire sortir le meilleur des gens, même si le meilleur n'est pas très reluisant. Hughie, quant à lui, apporte la volonté de bien faire et de vouloir faire pour un mieux, de façon à ce que les autres puissent être en sécurité. Mais les appeler amis ? Tu ne sais pas si tu les appellerais réellement ainsi. Tu ne sais même pas comment définir ton lien avec l'homme à côté de toi, d'ailleurs.

-Tu n'as cherché après personne ? tu demandes timidement.

Sous entendu ; tu n'as pas cherché après moi ?
Le Frenchie
SERGE
oui oui baguette

Le Frenchie


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Il faut être un pour commencer une histoire, mais une fois qu'elle est commencé on se rend compte qu'il vaut mieux être deux. Le Frenchie n'avait jamais eu grand monde sur qui compter dans sa vie, ils se comptaient sur les doigts d'une main en réalité. Et même ces personnes de confiance ne l'avaient pas empêché de prendre cette voies-là, en fait ils étaient probablement aussi paumé que lui dans la vie alors bon. Cependant avec Kimiko c'était différent, il ne se sentait plus si seul, plus si perdu. Ils étaient deux, et être deux avec elle c'était bien mieux que tout ce qu'il avait pu connaître dans sa vie. Maintenant qu'elle était là, devant lui, dans ce monde il s sentait  de nouveau complet. “Of course I'll be plus que ravi” Qui pourrait rêver d'une meilleure aide pâtissière ? Pas lui en tout cas. Ces moments où ils avaient cuisiné ensemble étaient des moments qu'il chérissait, et qu'il classait dans les bons, et même très bons souvenirs.

A les voir on aurait presque pu croire que rien n'avait changé et que tout était normal, même si en réalité il y avait un monde de différence entre ici et ce qu'ils avaient toujours connu. Et comme ils l'avaient si bien dit tous les deux il n'y avait personnes d'autres qui leur était familier. Son franc parlé lui avait manqué, et là elle lui arracha un grand sourire. “Monsieur Charcutier is a fucking dickhead you're right.” Mais plus que son opinion sur Butcher, Hughie ou Mother's Milk, il était content d'entendre que se retrouver juste elle et lui dans ce monde ne la dérangeait pas. A force il ne devrait plus en douter pourtant c'était toujours rassurant de l'entendre. “Well here you won't have a bad surprise there is just me myself and I.” Et franchement ça paraissait déjà pas mal quand on pouvait voir les idées délurées qu'il lui arrivait d'avoir. Bon aller manger des gaufres n'avait rien de déluré, c'était même assez banal pour n'importe qui en vrai, mais après les mois long et laborieux qu'ils avaient eu c'était presque extraordinaire. Et là c'était presque encore plus inattendu qu'il sorte de sa cave, mais qui d'autre qu'elle aurait pu y arriver ? Sa question le surpris. Comment aurait-il pu ne pas la chercher ? “Of course I did. I've been searching for you, you more than anyone else.”
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